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Etude (partielle) des statistiques de la délinquance...

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Etude (partielle) des statistiques de la délinquance... Empty Etude (partielle) des statistiques de la délinquance...

Message  Admin Dim 19 Juin - 17:41

Salutations,

Je ne vais pas m'étendre sur les statistiques, sachant très bien que les chiffres donnés sont truqués en fonction des besoins des politiciens. Comment ça c'est pas vrai? Bien sûr que si!!! Il n'y a pas d'organisme indépendant qui traite les chiffres de la délinquance en France. Les données les plus fiables sont dans les unités élémentaires, et encore... Une fois centralisés, les chiffres sont modifiés en fonction des besoins.

Quoiqu'il en soit, selon les derniers chiffres communiqués, les cambriolages et les violences à la personne sont en très nette hausse. Les pourcentages ne parlent pas tant que ça si nous ne connaissons pas les chiffres bruts.

Cambriolages: 183 000 en 2010
Violences à la personne: 872 000 en 2010

Sérieusement, 872 000 agressions en un an... Je trouve ce chiffre monstrueux.

Et pourtant, de là où je suis, j'ai bien conscience que ces faits sont réellement en augmentation. Les raisons?

Pour les violences:
Amha, cela vient en premier lieu de l'arrivée des nouvelles technologies (smartphone, ordinateurs portables...) qui sont souvent à l'origine de vols avec violences. Ou encore les vols à la portière. Vous avez sûrement déjà vu un reportage sur le sujet où on voit un bel enculé sauter à pieds joints sur une pauvre passagère dans une voiture juste pour lui piquer son sac à main à un feu rouge... La violence est désormais admise pour obtenir l'objet convoité, il n'y a même plus de menaces style "haut les mains", désormais, on tape, on s'acharne sur une victime au sol et une fois la victime hors service, on la vole... Mad

Ensuite, le gros problème des jeunes livrés à eux mêmes (laxisme des parents) qui n'ont comme références que les "copains" et qui s'amusent en frappant le quidam qui aura eu le malheur de passer dans le coin (après avoir consommé alcool et drogues).

Je pense que cela ne va pas aller en s'arrangeant. Voyez juste les vidéos mises en ligne par les copains sur les réseaux sociaux. La majorité concerne des violences. Il semblerait que cela soit devenu un phénomène de société qui promeut la violence et en fait un spectacle limite réjouissant ("wouah, la branlée qu'il se prend" étant le genre de réaction postée à l'issue de la vidéo). C'est plutôt inquiétant et pour moi, c'est un sacré symptôme d'une société corrompue qui ne sait plus s'amuser gentiment...

Pour les cambriolages:
Les cambriolages sont effectivement en hausse. Les cambriolages "d'avant" étaient ciblés sur la haute technologie (console, DVd et lecteur, télévision, chaine hifi...). Désormais, les marchandises recherchées sont les bijoux et exclusivement les bijoux. (voir également mon post sur les vols de métaux, dont les causes sont identiques) Attention, je ne parle pas des car-jacking qui sont également en recrudescence, mais les statistiques ne considèrent pas cela comme un cambriolage mais comme un vol de véhicule!!!

Pourquoi cela donc? Regardez les cours des matières premières et de l'or, c'est effarant et forcément, cela attire les personnes mal intentionnées désireuse de se faire de l'argent facile. Sachez qu'une majorité des cambriolages se font de jour, lorsque vous êtes au travail. En rentrant, vous trouverez fouillés tous les endroits où on range habituellement les bijoux et rien d'autre (chambre parentale, salle de bain). Comme bien souvent il y a des bijoux de famille, c'est encore plus traumatisant pour les victimes qui voient disparaitre une partie de leur vie sentimentale...

Et vu l'évolution des cours des matières premières, je pense que ce phénomène va encore s'amplifier. D'autant que les forces de l'ordre et les enquêteurs sont dépassés par l'ampleur du phénomène et n'ont pas les moyens d'y faire face. Et quand bien même les voleurs sont arrêtés, c'est pour un ou deux faits seulement, les 40 autres n'étant pas reconnus, la sanction est minime et rapidement, les activités reprennent...

Une précision pour votre information, sachez que le plus souvent, ces cambriolages sont commis par des communautés d'origine étrangère diverses et variées mais pas celles que vous croyez!!! (si quelqu'un veut me modérer sur le sujet, je serai réceptif à la demande, mais promis je reste politiquement correct et je ne stigmatise pas une tranche de la population, j'énonce des faits). Je précise également que les délinquants ne sont pas qu'étranger mais je conçois difficilement de faire des catégories style les grands, les yeux marrons, les cheveux longs, les rappeurs, les métalleux, les smicard, les chômeurs, les handicapés, les femmes...etc enfin, j'espère que vous m'avez compris... Shocked
En effet, il faut savoir que toutes les grandes villes hébergent des communautés étrangères, je cite de manière non exhaustive (Mongols, Ukrainiens, Géorgiens, Roumains, Moldaves, Chinois, Albanais, Russes...). Ces personnes sont aidées individuellement par des associations/organismes pour les démarches administratives et fournissent un hébergement souvent en foyer, ils reçoivent de l'argent pour acheter nourriture et vêtements. Mais cela ne leur suffisant pas, ces communautés s'organisent en mini mafia et se spécialisent dans un domaine précis. Toujours en vrac, je vous cite des faits commis dans ma région:

--Mongols: vol de carburant dans les entreprises de transport (à coup de 1000 à 3000 litres par "escapade") La barrière de la langue, l'asile politique font qu'ils sont rarement ennuyés par la justice française.
--Russes, roumains: vols de métaux (essentiellement le cuivre, y compris les caténaires des voies de chemin de fer alimentés!!)
--Géorgiens, Ukrainiens: cambriolages pour les bijoux
--et pour le reste, vols à l'étalage en grosses quantités (alcool, lames de rasoirs, chewing gum...) et pour donner quelques exemples de l'ampleur du truc: saisie de 80 bouteilles de Jack Daniel's, 800 tablettes d'Hollywood Style!!!

Je vous ai donné les informations que j'ai obtenues de source sûre et fiable. Il n'y a aucune exagération dans les faits, au contraire, je ne peux pas tout vous citer. Quoiqu'il en soit, avez-vous entendu parler de ce genre de phénomènes dans les médias? Non, ou rarement, on préfère stigmatiser les cités et les populations d'origine nord africaines (je ne dis pas non plus qu'ils sont tous blancs comme neige (dsl pour le jeu de mot involontaire!!)). Et pourtant, ce genre de faits sont commis tous les jours et je ne vous parle que des faits ayant été résolus par les enquêteurs, quantité passent à la trappe car non résolus...

Conclusion:

Les crises et la paupérisation de la population génèrent des comportements délictueux chez certaines personnes. Les pays occidentaux dits "développés" sont des cibles intéressantes car la profusion est attirante.
Ces comportements sont en perpétuelle augmentation et les moyens employés deviennent de plus en plus radicaux face à la sur-protection des personnes et des biens.
Les phénomènes vont aller en s'accroissant car de plus en plus de personnes sont en mode survie dans un système qui les laissent sans regret sur le bord de la route, et, sans justifier leurs actes, ces personnes vont à la facilité et cherchent à vivre comme tout le monde. Cependant, comme elles ne peuvent y accéder par la voie légale (travail correctement rémunéré) malgré les aides obtenues, elles prennent une voie de secours et sont cataloguées comme "parasites" du système.

Que faire? Juste en tirer les conclusions et envisager le comportement des gens dans une situation de crise majeure touchant toute la population. Comment les gens seront-ils prêts à survivre lorsque la profusion aura disparu? Et vous quel sera votre comportement? Jusqu'où serez-vous prêt à aller pour permettre à votre famille de (sur)vivre? Twisted Evil

BEUAH à vous...
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Etude (partielle) des statistiques de la délinquance... Empty Re: Etude (partielle) des statistiques de la délinquance...

Message  Admin Lun 20 Juin - 19:40

Et combien de jeunes meurent ou restent handicapés à vie suite à une bagarre ou une agression.

La dernière en date et les titres des infos ont malheureusement trop bien résumé la situation: "à 13 ans, tabassée à mort devant son collège"... Wouaow. On vit dans quel monde là?

Ok, le monde des bisounours n'existe pas, j'en ai bien conscience. Mais y'a quand même un juste milieu... Je suis choqué, notre société engendre des monstres et ce sont nos enfants...

Pas BEUAH sur ce coup là.
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Etude (partielle) des statistiques de la délinquance... Empty Re: Etude (partielle) des statistiques de la délinquance...

Message  Bourrache Mar 21 Juin - 11:02

En Belgique aussi, on assiste à ce phénomène. Sans non plus vouloir stigmatiser une catégorie de population, force est de constater que ce sont des "mafieux" venus de l'Est qui sont à l'oeuvre. Et effectivement, la vie et l'intégrité humaine ne font pas partie de leurs préoccupations.

En matière d'agressions, j'ai l'impression qu'il y a deux cas à envisager. Celles commisent par les blacks, boeurs qui vivent dans certaines cités ou quartiers ghettos des grandes villes. Pour ceux-là, je pense qu'il s'agit plus d'un problème d'intégration et de désoeuvrement. Il faut bien avouer qu'on a plutôt tendance à les rejeter rien qu'à cause de la couleur de leur peau, ce qui génère un certain ressentiment que l'on peut comprendre. Pour moi, ce type d'agressivité est parfaitement maitrisable par une meilleure politique d'intégration.

La deuxième catégorie est celle des gangs de l'Est. Je ne crois malheureusement pas que l'on pourra les récupérer, juste les combattre par la force. Ces personnes ont vécu pendant des décénnies sous des dictatures diverses. Maintenant qu'ils sont libres, ils ont compris que l'économie capitaliste était plus rapide via le racket. A moins de faire de leurs pays d'origine un nouvel Eldorado (je ne pense pas que cela arrivera un jour), difficile de résoudre ce problème.

Je crois aussi que la violence est banalisée par tous les types de médias que nous connaissons. Sans vouloir paraître "vieille tarte", les jeux vidéos ne sont pas sans conséquence sur la violence que nous connaissons maintenant. Seulement, dans la vraie vie, on ne peut pas dire "game over".

Quant à ta question sur la survie, je crois que cela mérite un post à part entière sur le sujet !
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Etude (partielle) des statistiques de la délinquance... Empty La jeunesse russe, sans repères

Message  Admin Ven 24 Juin - 9:19

"Conscients que l’avenir est plombé, les jeunes Russes vivent dans le moment présent, cherchent à s’enrichir par n’importe quel moyen et s’offrent de temps à autre une bouffée d’adrénaline avec une bonne cuite, un bon shoot ou un acte gratuit particulièrement dangereux.

L'AUTEUR
Nathalie Ouvaroff Journaliste russe. Elle vit à Moscou. Ses articles

Etudier plus pour gagner moins?
L'exode

11 février 2010. Des jeunes Russes lancent du toit verglacé d’un immeuble une de leur camarade sur un siège de fortune relié à un élastique. Après un suspense de quelques secondes ponctué de cris d’effroi, la jeune fille atterrit sur la neige dans un immense éclat de rire.

La vidéo de l’«exploit» filmée à l’aide d’un téléphone portable est publiée sur YouTube, histoire de faire partager leur émotion.

Quelque temps plus tard, d’autres jeunes jouent les funambules au-dessus d’une forêt sur une planche étroite placée entre deux pylônes à plusieurs dizaines de mètre d’altitude.

Ces vidéos ont interpellé de nombreux internautes qui se sont demandés les raisons qui peuvent pousser des jeunes à risquer leur vie pour rien. La réponse est à la fois cruelle et simple: par désespoir, parce qu’ils n’ont ni idéal ni avenir…

En Russie, les jeunes sont les principales victimes d’une politique qui a détruit le système de valeurs du régime communiste sans être en mesure de les remplacer. Le «culte du veau d’or» et tous ses avatars: capitalisme sauvage, relativisme, immoralisme, corruption généralisée se sont imposés sans difficulté à l’ensemble de la société, pourrissant la génération montante.

Lorsqu’on discute avec des Russes âgés de 15 à 25 ans, on est frappé par un mélange de cynisme, de cruauté et de désespérance qui les rend pathétiques.

Il faut dire que malgré toutes les belles déclarations dont nous ont abreuvé Vladimir Poutine et Dimitri Medvedev, les autorités russes n’ont pas pris le temps d’élaborer une politique de la jeunesse, laissant ce soin à des organisations comme Nachi, la jeunesse pro-Poutine, et autres mouvements qui les utilisent contre des espèces sonnantes et trébuchantes et la perspective d’un avenir «radieux».
La dégradation sanitaire de la jeunesse

L’an dernier, dans un rapport publié sur le site du parti Iabloko, Ivan Bolchakov, chargé de la section jeune, fait un constat très alarmiste sur l’état de la jeunesse vingt ans après la chute du régime communiste.

Tout d’abord le nombre de jeunes est en nette diminution: selon la fondation fédérale pour la protection sociale, ils n’étaient plus que 26,7 millions en 2008 contre 38 millions en 1995.

Cette baisse s’explique en partie par la situation sanitaire de la jeunesse. 75% des adolescents ont des maladies chroniques dès l’âge de 14 ans, le pourcentage de jeunes en mauvaise santé dans la population estudiantine atteint 90%.

Par ailleurs la jeunesse est touchée par les fléaux qui minent la société russe: l’alcoolisme et la toxicomanie. Chaque année, l’alcool tue 40.000 jeunes russes. Certes, les autorités ont tenté de faire quelque chose; la douma a voté une loi interdisant la vente de boissons alcoolisées y compris la bière aux mineurs de moins de seize ans. Mais cette initiative s’est heurtée à la corruption et à l’indifférence généralisée.

Dès le début des beaux jours, on rencontre dans les rues de la capitale des jeunes sirotant une canette de bière… Rares sont les commerçants qui s’intéressent l’âge de leurs clients: «Je ne peux pas demander leur passeport à tous les jeunes qui demandent de la bière, je n’en finirais pas, explique Vika, propriétaire d’une petite boutique de produits alimentaires dans le quartier Sokol. C’est aux parents de surveiller leurs enfants, pas à moi.»

Les jeunes Russes ne font pas que boire, ils consomment également de la drogue. Sur les six millions de toxicomanes que compte le pays, 80% sont âgés de 11 à 24 ans. La toxicomanie s’accompagne d’une progression du sida plus rapide que dans les autres pays du monde. Si les autorités ne prennent pas de mesures drastiques dans les dix ans à venir 5,5% de la population sera séropositive, assure Serge Elichov dans un article paru dans le journal Narodnaya Russkaya linia.


Baisse du niveau scolaire

L’éducation était orgueil de l’époque soviétique. Aujourd’hui, alors que, sur le papier, l’école est obligatoire, deux millions d’enfants ne fréquentent pas d’établissements scolaires et l’éducation tend à devenir l’apanage des classes aisées. La réforme imaginée par le ministre de l’Education nationale tendant à diminuer le nombre de matières obligatoires pour l’examen de fin d’études qui passent de onze à quatre va encore accentuer l’inégalité des chances entre les jeunes.

Par ailleurs, la situation dans les universités, y compris les plus prestigieuses, est catastrophique. «Dans l’enseignement supérieur tout s’achète et tout se vend (l’examen d’entrée , les examens de fin d’année et bien entendu le diplôme). C’est tout juste si la liste des prix n’est pas affichée dans le hall», commente Dacha, 18 ans, étudiante à l’institut des langues étrangères. Elle ajoute: «Certes dans tous les établissements il y a quelques places réservées aux jeunes particulièrement brillants et dont les parents ne peuvent pas payer, reste que leur nombre est en nette diminution et qu’à moins d’avoir été prix d’excellence pendant toute sa scolarité, on ne peut étudier gratuitement.»
Les jeunes entre apathie, cynisme et désespoir

Les enquêtes réalisées par les différents instituts de sondage aboutissent à des conclusions similaires. L’ensemble de la jeunesse est en proie à un profond malaise existentiel qui participe de la crise systémique qui affecte l’ensemble de la société russe.

Les 15-25 ans n’ont pas d’idéal, pas de système de valeur, ils sont cyniques et ne cachent pas que pour eux la fin justifie les moyens et les biens matériels sont plus importants que la liberté. Ils veulent de l’argent très vite et ne sont pas regardants sur les façons de s’en procurer. Trafics, vols, prostitution peu importe du moment qu’on peut acheter le dernier iPhone ou des vêtements de grande marque. Cette âpreté conditionne tous les grands choix, celui de la profession qui pour 60% des jeunes doit être lucrative avant d’être intéressante, celui du compagnon ou de la compagne… «Dans les années 1990, les étrangers avaient un succès fou en Russie, toutes les jeunes filles se jetaient sur eux. Maintenant, elles s’intéressent aux Russes, de préférence hommes d’affaires ou fonctionnaires», raconte Marc, un Français qui vit en Russie depuis plus de vingt ans.

Reste que ce consumérisme à tout crin qui caractérise la jeunesse russe, loin d’arrêter sa désocialisation, en accélère le processus. Certes les jeunes consomment, mais ils vivent en marge, ils ne participent pas à la vie de la cité et nourrissent la plus grande méfiance tant envers l’église que l’Etat et l’ensemble du monde politique.

Les jeunes sont baptisés, porte une petite croix par ce que c’est la mode, se disent orthodoxes mais ne respectent ni l’église en tant qu’institution ni le clergé. Le patriarcat a bien essayé de conquérir la génération montante allant jusqu’à conseiller aux prêtres d’aller apporter la «bonne parole» pendant les concerts de rock, mais ces efforts, loin de donner les résultats escomptés, ont augmenté l’opposition des jeunes, conscients de faire l’objet d’une tentative de récupération.

Quant à la défiance vis-à-vis des partis politiques, commune à bien des jeunes, elle s’explique par les mêmes raisons et ils ont sûrement des raisons d’être méfiants. Pour preuve les arguments utilisés par l’organisation pro-Kremlin Nachi pour embrigader les jeunes: «Aujourd’hui tu participes à une manifestation contre la corruption… Demain tu vas passer des vacances gratuites à Seliger (camps d’été de la jeunesse pro-Poutine) et tu peux même avoir une subvention pour un projet à condition qu’il s’inscrive dans l’idéologie antifasciste du Kremlin», peut-on lire sur le site de l’organisation."

Nathalie Ouvaroff
Lu sur le site Slate.fr au lien suivant: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Cela me rappelle étrangement le comportement de la jeunesse en France. Sommes-nous en train de détruire les êtres humains qui feront le monde dans 20 ans?
BEUAH à vous

PS: allez sur le site, il y a deux vidéos dans l'article, assez impressionnant.
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Etude (partielle) des statistiques de la délinquance... Empty Re: Etude (partielle) des statistiques de la délinquance...

Message  Admin Sam 25 Juin - 0:03

J'ai appris ce que voulait dire le terme "bander" (dans le sens sexuel du terme!!) lorsque je suis arrivé en 6ème, donc à l'âge de 11 ans environ.

J'ai du entendre parler de drogues au cours du collège mais sans pouvoir en citer aucune. A l'époque, je pense qu'il y avait le terme générique pour la population non concernée directement et des noms précis pour la population concernée.

J'ai entendu parler du Cannabis lorsque je suis arrivé au lycée, donc à l'âge de 15 ans environ.

J'ai été confronté pour la première fois au Cannabis à l'âge de 16 ans et c'était en Irlande.

J'ai du vraiment entendre parler de cocaine et d'héroine lorsque j'étais à la fac, donc à 18 ans environ et j'y ai été confronté directement.

Cela me semble avoir été un bon canevas dans l'apprentissage car j'avais la culture, l'éducation et la réflexion nécessaire, bref, j'avais la maturité pour appréhender convenablement le sujet. La preuve, je ne suis pas tombé dedans de manière dangereuse et préjudiciable.

Ce soir, lors du dîner, nos enfants ont lancé une discussion sur le Sida, puis la discussion à dévier sur les modes de contamination. Le thème de la toxicomanie a été abordé dans une suite logique, puis des drogues.

Nous (les parents), naîfs, avons débuté le sujet en prenant des gants (triple épaisseur, ignifugés, à l'amiante...), on tournait un peu autour du pôt tout en les questionnant sur leurs connaissances sur le sujet. Arrive La Question:

"Vous connaissez des drogues?" Je précise que nous leur avions présenté l'alcool et la cigarette comme des drogues, avec les nuances que cela implique.
Et là, l'un d'eux prend la parole:
"C'est comme le Cannabis, ou la cocaine..." affraid
"Comment tu sais ça?"
"Ben à l'école, y'en a un qui avait ramené de la drogue, c'était du cannabis et il a été exclu"

WAOUW!!! Shocked Shocked Shocked Shocked scratch

Y'a pas comme un méchant fossé intergénérationnel????

Qu'en penser? Je ne peux pas m'empêcher de fairer un lien avec les posts ci-dessus...

bonne réflexion...
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Etude (partielle) des statistiques de la délinquance... Empty Re: Etude (partielle) des statistiques de la délinquance...

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